Le but du prêtre
Le but du prêtre
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La engouement de la ciboulard vacillait sur la table de dessein massif, projetant des obscurités tremblantes sur les murs de pierre de la demeure de Magnus MacAlistair. Le vent rugissait immensément à l'extérieur, déclenchant la bruyère et fouettant les falaises escarpées qui plongeaient dans l’océan sinistre. Mais à l’intérieur, c’était un autre silence qui s’installait, plus pesant encore que celui de l'obscurité écossaise. Magnus fixait les auspices éparpillées amenées à lui, son regard rivé sur le identité caché qui s’était calligraphié parmi elles. Il en connaissait n'importe quel tracé, n'importe quel variation. Depuis son plus non-initié âge, il avait accueilli leur langage, déchiffrant les désidérata de la haut par leurs silhouette médiévales. Pourtant, cette rune, il ne l’avait jamais banale dans aucune sorte de manuscrit, aucune gemme gravée, aucune sorte de récit donne par les sages du passé. La voyance s’exprimait en signes. Elle ne criait jamais ses symboles, elle les murmurait à ceux qui savaient écouter. Il tendit une doigt hésitante et effleura la rune du frontière des soi. Une étrange intuitions s’insinua dans sa peau, à savoir si la pierre elle-même contenait une chaleur étrangère. L’air qui entourent lui sembla se densifier, la jour de la boussole devint plus bas, et durant une période, les siècles sembla suspendu. Un battement sourd résonna dans son vaillant, similaire au roulement lointain d’un tambour de guerre. Les révélations s’imposèrent à lui. Il vit une lande balayée par les tempêtes, des silhouettes encapuchonnées marquant ce même identité sur un monolithe taciturne. Le ciel s’ouvrait au-dessus d’eux, des éclairs déchiraient les nuages, et une acception invisible émergeait du sol à savoir une équivoque prête à obscur le communauté. Puis, tout disparut. Magnus se redressa brusquement, haletant, la sueur perlant sur son bord. La voyance venait de lui révéler un fragment d’histoire perdu dans les âges. Quelque chose avait duré scellé, enfermé dans l’oubli, et ce signe en était la entrée. Il se leva lentement, le regard hanté. Il devait trouver ce monolithe. Il devait saisir occasion cette rune, coccyxes des siècles de silence, venait de s'exercer à lui. La nuit était encore longue, mais son chemin venait d’être tracé. Le passé l’appelait. Et il savait que la voyance ne l’avait pas choisi par destin.
L’aube se levait à copie sur les landes écossaises, effleurant les montagnes d’une eclat pâle et glaciale. Magnus MacAlistair se tenait à l’orée de son entourage, l'attention perdu poésie l’horizon où la brume s’accrochait aux falaises. Il n’avait pas fermé l’œil de l'obscurité. La voyance l’avait éveillé, lui entrainant un message venu d’un autre vies, un symbole méconnu qui portait en lui le poids du passé. Il savait ce qu’il devait attirer. Il enfila sa cape de laine, saisit un sac en cuir contenant ses instruments et ses runes, puis se mit en voie. Le monolithe qu’il avait perçu dans sa photo devait exister quelque part, enfoui sous la boule ou dissimulé dans un recoin oublié des Highlands. Il devait le définir, car il portait un religieux que les personnes nées arrière guerre avaient requis dissimuler aux Âges futures. la rue qu’il emprunta serpentait par des landes couvertes de bruyère et de perles blanches moussues. Le vent sifflait entre les montagnes, ayant fait avec lui le mobilisation des corbeaux qui tournaient en cercles au-dessus des ruines dispersées. Les vénérables légendes racontaient que ces terres étaient hantées, que des critères oubliées sommeillaient marqué par les venues des arbres noueux et dans les galeries secretes des falaises. Magnus ne craignait pas les fictions. Il les connaissait immensément bien. Après de nombreuses heures de marche, il atteignit un plateau solitaire où s’élevaient les vestiges d’un ancien cercle de bijoux. Il s’arrêta, le verve suspendu. L’endroit était correctement tels que dans sa vision : un sol sec, parsemé de gravats, et en son milieu, une dalle black, colossale, brisée en de nombreuses morceaux. Il s’agenouilla et posa ses main sur le support lisse et froide du monolithe. La pierre portait encore des inscriptions effacées par les siècles, mais il en reconnut certaines. Des auspices qu’il connaissait depuis l’enfance. Protection. Destin. Silence. Et au foyer, à match visible sous les strates de mousse, la rune inconnue. Un frisson lui parcourut l’échine. La voyance lui avait montré cet côté pour une mobile. Il sortit un couteau et gratta doucement la mousse qui recouvrait les allégories, révélant brin à doigt les gravures occultes. Les marques étaient personnelles, précises, tracées par une main qui savait que ces messages devaient explorer les âges. Puis il lut. Les auspices ne racontaient pas une aisé histoire. Elles décrivaient un avertissement. Quelque étape avait persisté enfermé ici, un genie que les personnes nées coccyxes guerre avaient exigé débarrasser de la avertissement des hommes. Le cercle de bijoux n’était pas un endroit sacré. C’était un sceau. Et Magnus venait de stimuler son symbolique.